Pas facile de se faire une place au soleil avec un oncle ombrageux et susceptible – le créateur de Tintin – dont on porte le nom ! Dans Un oncle nommé Hergé, Georges Remi JR. livre un témoignage tout en nuances ou il parle de son père, de cet oncle célèbre qui illumina la bande dessinée mais également de l'empire que ce dernier a laissé derière lui.
Présentation de l'éditeur :
Georges Rémi Jr est l'homonyme de son oncle, plus connu sous son nom de plume : Hergé (22 mai 1907- 3 mars 1983). Il raconte ici ses souvenirs avec tristesse et révolte, le sentiment d'un rendez-vous manqué. Mais comment se faire une place au soleil alors que domine l'ombre projetée par le créateur de Tintin ? Entre un père, peintre équestre de talent, et un oncle célèbre, ombrageux et susceptible ? À la fois candide et sincère, Georges Rémi Jr raconte pour la première fois le destin de son père, ses relations difficiles avec Hergé et ses proches. Le livre raconte aussi la succession mouvementée du créateur de Tintin. Un témoignage où se mêlent joies et chagrins, admiration et colère, étonnements et déceptions...
L'actualité regorge d'histoires de selfmade men chinois partants à la conquète du monde occidental. Mais qui sont réellement ces hommes et ces femmes ?
Dans Les nouveaux milliardaire rouges, Marion Zipfel (diplômée en politique chinoise de la Chinese University of Hong Kong) et Laure de Charette (correspondante du Nouvel Économisteà Singapour) abordent trente ans d'économie chinoise à travers des portraits de personnages à la réussite emblématique afin de comprendre ce nouveau phénomène de "capitalisme à la chinoise".
Présentation de l'éditeur :
La Chine compte officiellement plus de cent milliardaires en dollars. En quelques années, ces jeunes patrons ont bâti des empires. Jets privés, yachts, hôtels et boutiques de luxe, vignes dans le Bordelais : ils ne cachent pas leurs yuans et goûtent au bling-bling sans complexes.
Fait de démesure, le quotidien des « nouveaux milliardaires rouges » s’accompagne aussi de scandales. Élevés à l’économie de marché, ils ont su s’aventurer dans les eaux troubles du secteur privé. Mais, dans le plus grand État communiste du monde, il faut, pour faire fortune, être lié au pouvoir… au risque de subir un jour ses foudres.
Dans un pays où les fortunes se font et se défont à la vitesse de la lumière, quel regard portent les Chinois ordinaires sur leurs super-riches ? Le rêve chinois est-il vraiment en passe de détrôner un « rêve américain » en voie d’essoufflement ?
De Pékin à Hainan, de Shanghai à Hangzhou, deux journalistes sont parties à la rencontre de personnalités aux destins hors du commun : Zong Qinghou, député communiste, l’homme le plus riche de Chine en 2012 ; Lai Changxing, hier paysan analphabète, ennemi public n° 1 depuis qu’il a détourné près de 4 milliards de dollars ; ou encore Cao Dewang, équipementier automobile et premier philanthrope du pays… Une plongée dans les arcanes du gotha chinois.
"Les êtres vivants ne sont pas
faits de matière, ils sont seulement traversés par elle, ils l’assimilent puis
la rejettent. Alors, de quoi sont-ils faits ? D’information, ce qui donne
forme à la matière et se perpétue à travers elle."
Voici la thèse avancée par Thierry Gaudin, le plus emminent prospectiviste français, dans son nouvel essai L'Impératif du vivant. Dans ce livre, il traverse toutes les disciplines scientifiques et artistiques et aboutit à l’invention
d’un nouvel art de vivre, plus en lien avec la nature profonde du vivant
L’idéologie dominante présuppose que la lutte pour la vie est le moteur de l’évolution. Or, ce présupposé est faux : depuis l’origine des êtres vivants, l’histoire montre au contraire un cheminement vers la coopération.
Le système actuel s’étant disqualifié, d’autres formes d’organisation sont à construire, plus proches de la logique du vivant avec ses trois fonctions : la préservation, la destruction créatrice et la conceptualisation.
Si « l’impératif industriel » était autrefois celui de la rationalité productrice sans limite, de la consommation et de la puissance, l’impératif du vivant est désormais celui de l’accompagnement de la vie sous toutes ses formes et de l’élévation de la conscience.
Partant de la reconnaissance élémentaire, celle du nouveau-né qui construit sa perception du monde environnant, jusqu’aux organisations politiques et sociales, l’auteur arrive à des suggestions logiques et précises pour une gestion durable de la planète.
En aout 1999, Franck Maubert découvre Richelieu, une ville à l'ambiance et à l'architecture si particulières qu'elle lui inspirera quatorze ans plus tard l'écriture de son nouveau roman Ville Close.
Dans cette vidéo, il parle de lui, de son livre et de ses inspirations.
Présentation de l'éditeur :
"Un homme se retire à Richelieu, dans la maison de sa tante défunte, dont il fut, plus jeune, l'amant. Le narrateur découvre peu à peu les étranges habitants de cette ancienne « ville nouvelle », aujourd'hui enserrée dans ses murailles. Entre Touraine et Poitou, cette ville close fondée en 1642 par le Cardinal, dont le fantôme hante encore les rues désertées, est le théâtre de faits divers troublants : suicides, rumeurs, morts suspectes, meurtres... Le narrateur va se fondre au coeur des mystères des lieux et enquêter, à la recherche de l'âme de la ville et du spleen qui l'habite, jusqu'à ce que, lui-même confronté au drame, soit sauvé par une énigmatique jeune femme. Un roman d'atmosphère assurément, inspiré de faits réels. À sa lecture, Patrick Modiano écrit : « J'ai trouvé qu'il y avait là du Simenon, et aussi un peu d'André Dhôtel, écrivain que j'aime beaucoup... »
