Parabole sur la naissance, la terre et l'existence comme perpétuelle migration, ce récit restitue l'enfance de "l'Homme aux Livres".
Daniel Radford débute à 22 ans aux éditions Robert Laffont avant d'être nommé tour à tour directeur général de Stock, Lattès et Ramsay. Converti au Judaïsme, il devient libraire-édieur et enseigne la Torah et la philosophie dans une école talmudique. Il a raconté dans "l'Homme aux livres" (Presses du Châtelet, 2012) son étonnant parcours spirituel et intellectuel.
Présentation de l'éditeur :
"C'est dans cette berceuse qu'est mort mon grand-père. C'est dans ce même siège à bascule que je m'éteindrai." Daniel Radford nous parle jusqu'à ce que la récitation des ancêtres enfante un violent réquisitoire, jusqu'à ce que la mémoire délivre un chant poétique de l'enfance, jusqu'à ce que l'évocation des visages et des paysages compose un roman baroque de l'exil. Alors seulement surgira l'heure de la révélation. Et le "maître-pièce" pourra repartir avec, pour solde de tout compte, la vision de Jérusalem.
Voici le récit d’une enfance antillaise, qui dit les lieux, les visages, les ancêtres, les odeurs d’une terre, « ce proche "ailleurs" qui a le nom Guadeloupe ». Et même si cet ailleurs n’est plus vraiment le sien, les racines de Daniel Radford y demeurent ancrées à jamais.
"Un maître livre, une belle et profonde éducation sentimentale" (Jacques Lanzmann)
"Une galerie émouvante de portraits riches d’humanité" (Jorge Amado)
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