Dans son livre, le patriarche se penche sur le chemin accompli et se rappelle les hommes et les espaces vers lesquels la musique l'a guidé.
De ses débuts sur la scène musicale franco-africaine jusqu’au triomphe de « Soul Makossa » (1972) et « Abele Dance » (1984), de ses années passées à la tête des orchestres de Nino Ferrer et de la radio-télévision ivoirienne à ses boeufs avec Fela ou Herbie Hancock, Manu Dibango, le géant de l’afro-jazz, né le 12 décembre 1933 à Douala (Cameroun), raconte son incroyable parcours. Un récit rédigé avec Gaston Kelman, auteur de Je suis noir et je n’aime pas le manioc.
Présentation de l'éditeur :
Cet ouvrage compose l'autoportrait d'un musicien dont le talent finit par s'imposer, grâce à un facteur que lui-même nomme la chance. Le parcours de cet artiste est un paradoxe permanent : dans cette Afrique à laquelle il s'entête à se consacrer, il n'a jamais été reconnu à sa juste valeur ; en France, il reste africain avant d'être musicien ; mais, dans le reste du monde, c'est une star.
"Balade ou ballade ? Certainement les deux. C’est sur les routes des concerts et au contact du public que j’existe, que mon saxo invite à une communion universelle, comme à la prière du soir, quand la nuit s’étend sur les villes et les villages..."
Au fil de son récit, l'Afrique, la France et l'Amérique sont invoquées avec passion.
Plongez dans les souvenirs de l'auteur en découvrant un extrait du livre !
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